Mon Mac Allemand

Catégories : LGBT Travesti Gay Lesbienne Trans Sissy
il y a 6 ans

1ere Partie : initiation

Bonjour voici un petit récit, largement fantasmé ; mon « aventure » se déroule en Allemagne à quelques kilomètres de Strasbourg. Pour des raisons de simplification j’ai mis les dialogues en français.

Pour information, en Allemagne les bordels sont autorisés, dans les grandes villes on les appelle ‘Eros Center’, dans la campagne ce sont souvent des relais routiers avec une arrière salle ou une cave discrète, on les nomme ‘Bordell’, tout simplement et ils sont très fréquentés.

C’était il y a une dizaine d’années, j’avais 51 ans, veuf depuis plusieurs mois. Depuis des années je me travestissais occasionnellement, m’épilais intégralement, mais j’avais fait très peu de rencontres, je n’avais été sodomisé qu’une seule fois, avec difficulté.

Depuis deux ans, je fréquentais une gravière en Allemagne, à quelques kilomètres de Strasbourg, j’avais appris par un partenaire éphémère dans un sauna que la plage sud était fréquentée par des homos et était naturiste. C’était vrai et j’y allais souvent en sortant du boulot, de mai à octobre.

J’avais été dragué plusieurs fois (un mec au corps totalement lisse et à poil c’est forcément un pédé qui cherche…), j’avais toujours refusé car je cherchais un mec qui me baise dans un lit, pas dans les fourrés, je tenais à un minimum de confort et de discrétion. Je n’avais accepté qu’une seule fois, un vieux qui m’a emmené dans son appartement à quelques kilomètres de là ; mais il ne bandait plus, il m’a demandé de m’exhiber devant lui en travelo, m’a branlé, m’a léché le petit trou, ça j’ai adoré… Mais je restais sur ma faim, je n’étais toujours pas une enculée …

Je m’installais toujours au même endroit, à quelques mètres d’un homme âgé, environ 65 ans, grand, assez enveloppé (je suis moi-même assez enveloppé), il me plaisait bien mais je n’osais pas l’aborder, nous nous disions juste bonjour /au revoir…

Ce jour-là je décidai de tenter ma chance, j’irai me baigner en sortant du boulot, mais cette fois je lui donnerai un signe ; je mis une petite culotte de satin rose avec dentelle grise, je m’arrangerai pour la voit bien quand j’enlèverai mon pantalon. Peut-être que cela sera suffisant pour qu’il devine mes intentions.

Le moment venu, par chance il n’y avait personne d’autre à proximité immédiate, j’enlevai ma chemisette, puis mon pantalon, lentement pour il ait bien le temps de voir ma jolie petite culotte, quand je la retirai j’essayai de le faire de la façon la plus féminine possible. Quand je m’allongeai, il me fit un grand sourire, je suis sûre que j’ai rougi ; je lui ai également souri. De temps en temps je jetai un regard furtif et je constatai qu’il m’observait discrètement. C’était plutôt bon signe.

J’allais nager quelques minutes, quand je revins à ma place il ne me quittait pas du regard, avec un petit sourire, mais ne disait rien ; de mon côté je ne savais comment engager la conversation, lui non plus visiblement. Le soleil tapait dur ce jour-là, je commençai à m’enduire de crème solaire, d’abord devant, poitrine, ventre, cuisse, jambes ; je terminai par le sexe. Je constatai qu’il ne me quittait plus des yeux. Plutôt bon signe. Je me tournai et entrepris de m’enduire le dos, nettement moins facile que l’avant… je me dis que c’était le moment de tenter le tout pour le tout, je poussai de petits soupirs pour bien montrer que j’avais du mal à accéder au milieu du dos…et ça a marché, il m’a demandé si je voulais qu’il s’en charge, je m’empressai d’accepter. Il plaça son drap de bain juste à côté du mien, je constatai que son sexe était en érection. Il m’enduisit copieusement le dos, en massant bien, continua par les jambes puis les cuisses, il me fit remarquer qu’il avait l’impression de caresser une femme, tellement ma peau était lisse et douce. Je répondis que je m’épilai régulièrement.

  • C’est vrai que pour porter des dessous féminins c’est préférable, plus joli dit-il.

On y était, il avait réagi comme je j’espérais. Il s’occupa enfin de mes fesses, il me les tartina généreusement, insista particulièrement sur ma raie, s’attarda sur ma petite rondelle vierge :

  • Il faut bien protéger ta petite chatte du soleil me glissa-t-il à l’oreille.

Je poussai un petit grognement de satisfaction, mon sexe était en érection, il dû s’en rendre compte car je me cambai légèrement, il glissa une main sous moi et saisit ma verge :

  • Elle est excitée la petite pute.

  • Oui, très excitée.

  • Maintenant c’est à ton tour de t’occuper de moi.

Je ne fis pas prier, il se recoucha sur son drap de bain, sur le dos, sa queue bien dressée, une queue assez fine, plus longue que ma petite bite de femelle. Je lui tartinais consciencieusement la poitrine, le ventre, puis comme il m’avait fait je m’occupai de ses jambes, puis de ses cuisses ; quand je fus parvenu en haut de ses cuisses il plaqua une main derrière ma tête et la dirigea vers son sexe toujours tendu, je ne résistais pas et la pris à pleine bouche. Je l’avalais goulument, elle durcissait encore ; il m’interrompit après quelques va et vient en me faisant remarquer que nous n’étions plus seuls sur la plage ; d’autres mecs étaient arrivés entre temps et nous regardaient :

  • Il y a trop de monde ici je n’aime pas ça, on va aller chez moi, on sera plus tranquilles.

Il m’expliqua qu’il habitait à cinq minutes en voiture, dans une maison isolée, discrète, j’acceptai. Nous allâmes faire trempette une dernière fois pour nous rafraichir, nous nageâmes quelques minutes cote à cote. Juste avant de sortir de l’eau, il se colla à moi, m’embrassa de force et força mon anus avec un doigt, quand nos lèvres se séparèrent il me dit :

  • Que les choses soient claires, je suis le Mec, tu es ma femelle.

Je confirmais que c’était bien ce que j’avais compris que je serai une petite femelle très très docile. Nous sortîmes de l’eau, nous séchâmes et nous nous rhabillâmes. Quand je remis ma petite culotte il me demanda si j’avais d’autres dessous féminins, je lui dis que j’avais une garde-robe complète, il parut ravi. En allant rejoindre nos voitures il m’expliqua qu’il était veuf aussi, qu’il partageait une grande maison à l’écart du village de Willstätt avec sa sœur cadette. Sa sœur était très discrète et très ouverte, elle ne serait pas choquée de le voir revenir avec un homme, enfin plutôt avec un homme femelle dit-il en riant.

Je suivis donc sa voiture, effectivement nous fumes rendus en moins de cinq minutes, c’était une grande maison isolée, je pus constater qu'il y avait un grand jardin entouré de hautes haies, on pouvait y faire du naturisme sans crainte de regards indiscrets. Sa sœur était absente, il m’emmena sur une grande terrasse donnant sur le jardin. Il me proposa une bière et m’ordonna de me déshabiller en ne gardant que ma petite culotte pendant qu’il cherchait la boisson. Je m’exécutai sans tarder, ma petite bite en érection. Il revint avec un plateau et deux bouteilles de bière et deux verres. Il se déshabilla à son tour, s’assit, écarta ses cuisses et ordonna :

  • A genoux grosse pute, tu vas terminer ce que tu as commencé tout à l’heure et applique toi, quand je jouirai tu avaleras mon jus et tu me laveras la queue avec ta langue.

Ce langage me plaisait, je cherchais un homme autoritaire, un vrai mec quoi, qui me traite comme une fiotte.

Je le pompais donc consciencieusement, avec application ; j’alternais des vas et vient avec des léchages de son gland et de ses gros testicules. Je l’entendais respirer lourdement, pousser de longs soupirs, il avait l’air d’apprécier. Pendant de longues minutes je le suçais goulument jusqu’à ce qu’il jouisse, je sentis son jet au fond de ma gorge, je reculais légèrement pour bien le recueillir dans ma bouche. J’avais déjà sucé plusieurs fois mais jamais pris du sperme dans la bouche, le goût n’était pas désagréable, bien au contraire. Je lui nettoyai ensuite la queue avec ma langue comme il me l’avait ordonné. Il me saisit par les cheveux, m’obligeant à me relever, puis il m’embrassa de f o r c e, introduisant sa langue dans ma bouche. Ce faisant il me pelota les seins puis les fesses, puis il glissa une main dans ma petite culotte :

  • Mais elle a joui la petite pute, tu mouilles salope.

Je hochai la tête, il me baissa la culotte et entreprit de me lécher le sexe puis il me demanda de me retourner et essaya d’enfoncer un doigt dans mon petit trou ; je poussai un cri :

  • Tu es vierge ?

  • Oui

  • Plus pour longtemps, je vais m’en occuper.

Il servit les deux bières et avant de me donner mon verre il y trempa sa queue :

  • Comme ça tu vas continuer à me déguster.

Je le remerciais et nous trinquâmes, il m’expliqua qu’il était veuf, bisexuel, s’appelait Rolf, retraité de la police et qu’il était à la recherche d’une femelle comme moi, il voulait une « femme à petite bite » à son entière disposition, docile soumise et lubrique. Il précisa qu’il exigeait une obéissance totale sous peine de punitions sévères.

C’était pile ce que je cherchais, j’avais toujours été d’un naturel soumis (dans mon couple ce n’était assurément pas moi qui portait la culotte !).

Quand il eut fini de m’expliquer ce qu’il attendait il m’ordonna de terminer ma bière de me lever et d’attendre, il se leva à son tour, entra dans la maison. J’étais excitée comme une puce, ma culotte était mouillée.

Il revient un instant plus tard avec un sachet nylon, il sortit deux paires de menottes et m’attacha à la pergola, bras écartés ; il me mit également un masque sur les yeux, je ne voyais plus rien :

  • Maintenant je t’écoute, présente toi et explique moi en détail ce que tu cherches.

J’obéissais :

  • Je m’appelle Jacquie, je vis à quelques kilomètres de Strasbourg, je suis veuf depuis un an et j’aime me travestir, je cherche un homme mûr dominant qui m’initie, je suis vierge, très étroite mais j’ai déjà sucé plusieurs fois.

Je lui avouais que j’avais eu très peu d’expériences avec des hommes jusqu’à présent, aucun n’avait réussi à me détendre suffisamment pour me sodomiser mais que j’avais très envie de me donner totalement à un homme mûr expérimenté et autoritaire.

Il me demanda jusqu’où j’étais prête à aller ; je lui répondis que j’étais disposée à devenir sa femelle, sa propriété.

J’étais prête à accepter le BDSM à condition que cela soit progressif ; à accepter tout ce qu’il exigerait de moi ;

  • Tout ? même de faire la pute pour moi ?

  • Oui, c’est d’ailleurs l’un de mes vieux fantasmes (si j’avais su à quoi je m’engageais alors)

  • Très bien, on verra. Si tu ne donnes pas satisfaction il t’en cuira, tu as bien compris connasse ?

  • Oui j’ai bien compris Rolf.

  • A partir de maintenant tu m’appelleras Maître, compris pétasse ?

  • Oui Maître j’ai bien compris, excusez-moi.

  • Tu as déjà choisi un prénom ?

  • J’ai pensé à Marlène Maître.

  • Parfait ça me va. Ton dressage commencera après demain samedi, tu viendras en fin d’après-midi, tu te seras soigneusement épilée, tu viens en travesti ou en homme ?

  • En homme.

Je pris une grande claque dans la figure :

  • En homme Qui ? connasse.

  • En homme Maître.

Un bruit de moteur se fit entendre :

  • C’est ma sœur qui rentre.

  • S’il vous plait Maître.

  • Quoi ?

  • Pouvez-vous me détacher pour que je me rhabille ?

  • Pas question.

  • Mais votre sœur ?

  • Je crois que ma sœur va apprécier le spectacle.

  • S’il vous plait, implorais-je.

  • Ta gueule connasse.

Sa sœur appela :

  • Tu as de la visite Rolf ?

  • Oui, sur la terrasse, viens.

J’entendis un bruit de pas, puis un petit cri de surprise :

  • Ah je vois, Une visiteuse au vu de sa culotte, j’ai l’impression qu’elle est plus femelle que mâle…

  • Tu peux aller vérifier.

  • Je vis me gêner

Je sentis qu’on baissait ma culotte :

  • Effectivement, elle a une toute petite bite la mignonne pas de quoi exploser une chatte.

Et ils éclatèrent de rire ; je ne m’étais jamais senti aussi humiliée, j’avais envie de pleurer.

  • Tu as envie d’une bière ?

  • Non plutôt d’un café à cette heure-ci.

  • Je vais en prendre un aussi, installe toi, je vais le préparer.

Pendant que Rolf était à la cuisine elle m’interrogea :

  • Tu t’appelles comment ?

  • Marlène.

  • Française ?

  • Oui madame

  • Où avez-vous fait connaissance ?

  • A la gravière de Kork.

  • Ah je vois.

  • Tu te travestis complètement ?

  • Oui, intégralement.

  • C’est bien mon frère va adorer. Il apprécie beaucoup les femelles à bite, à petite bite.

Elle rit, je n’étais vraiment pas à l’aise. Rolf revint de la cuisine avec les cafés. Il lui dit :

  • C’est la pouffe que j’avais repéré depuis des semaines, je ne m’étais pas trompé, elle cherchait bien de la bite…

  • Tu as toujours été doué pour repérer les putes.

  • Mon métier, que veux-tu… j’ai l’œil, je vois tout de suite quand une grosse pouffe aime écarter ses cuisses.

  • Tu lui as déjà expliqué ce qu’on attend d’elle ?

  • En partie… elle découvrira au fur et à mesure.

J’étais perplexe, « ce qu’on attend d’elle ? », participerait elle ? Ce n’était pas pour me déplaire, j’avais toujours rêvé de me faire prendre par un homme en présence d’une femme.

Ensuite ils parlèrent à voix basse pendant quelques minutes, puis Rolf dit :

  • Il est temps que tu fasses connaissance avec ma sœur, tu l’appelleras Madame ;

Il retira mon masque, c’était une grande femme d’environ 55 ans, en robe d’été bleu marine à pois blancs très décolletée, une poitrine très avantageuse, de longues jambes, très agréable à regarder, un sourire narquois aux lèvres.

  • Je te présente ma sœur Anna.

  • Bonjour Madame Anna.

Il retourna s’assoir et glissa une main sous la robe de sa sœur, elle écarta légèrement ses cuisses. Elle éclata de rire et me dit :

  • Je suis sa sœur mais aussi comme sa femme, ça fait trente ans qu’il me baise et on adore ça.

Rolf souriait, il appréciait visiblement cette situation. Tout en continuant à la fouiller sous la robe il lui dit :

  • Tu sais qu’elle est vierge la grosse pute ? Elle suce assez bien mais elle prétend que sa rondelle est encore intacte.

  • Il y a un moyen très simple de vérifier ça, qu’est-ce que tu as prévu ?

  • Elle viendra samedi soir en travelo et je m’occuperai d’elle.

  • Non, samedi je suis prise et je tiens à assister à son « inauguration », tu sais que j’adore quand tu en déniaises une, la voir couiner, supplier de ne pas lui faire mal, la voir se tortiller quand tu la bourres. Elle est là, à ta disposition alors autant en profiter, tu vas la baiser maintenant.

  • Tu as raison, d’autant plus qu’elle m’excite à mort cette grosse pouffe, tu prendras des photos pendant que je la limerai, pour notre album.

Je tentais de protester :

  • Pas de photos s’il vous plait.

  • Ta gueule connasse, tu n’as rien à demander. On ne te reconnaitra pas sur les photos.

De toute manière je n’avais pas le choix, j’étais entravée, totalement à leur merci. Ils discutèrent encore quelques minutes à voix basse, je sentais bien qu’ils préparaient quelque chose que je ne devais pas connaitre, mais quoi ?

Je m’étais mise dans une drôle de situation, ça ne correspondait pas vraiment à ce que j’avais imaginé à la gravière ; je pensais être tombé sur un gentil papy qui m’initierait en douceur et en fait j’avais à faire avec un couple dépravé qui visiblement avait des pratiques hard. D’un autre côté, j’avais toujours fantasmé sur une relation Maître/Soumise et sur le fait d’être baisée en présence d’une femme ; j’allais être servie, il me faudrait assumer.

Rolf me détacha de la pergola, me menotta les mains dans le dos et m’entraina dans un escalier, nous descendions dans une cave, il ouvrit une porte, me fit pénétrer dans une pièce, il m’ordonna d’écarter mes jambes et d’attendre. J’entendis la porte se refermer, l’attente dura de longues minutes. Enfin ils revinrent tous deux, il ôta mon masque. Nous étions dans une grande pièce à pierre apparentes, en face de moi il y avait un grand lit à armature fer, il était recouvert d’un drap en latex rouge. Je remarquai aussi qu’aux murs il y avait plusieurs anneaux, il était facile d’en deviner l’usage. Rolf avait revêtu un pantalon bizarre en cuir, son sexe et son derrière étaient largement échancrés, il portait un gilet sans manches, en cuir également. Sa sœur était assise d’un un fauteuil de cuit rouge, elle portait une guêpière seins nus en cuir noir et rouge, des bas résille, mais pas de culotte. Elle était assise cuisses écartées et je pus constater que son sexe était parfaitement épilé. Elle mouilla ses doigts avec sa bouche et commença à se caresser en gémissant.

Soudain, Rolf me gifla violemment :

  • Tu te rinces l’œil grosse pute, tu es ici pour prendre de la bite dans le cul, pas pour reluquer la chatte de ma sœur, elle n’est pas pour ta petite bitoune ridicule. Excuse-toi.

  • Pardon Madame Anna.

Il retira ma culotte et me l’enfonça dans la bouche, il constata que je bandais de nouveau :

  • C’est la chatte d’Anna qui te fait bandouiller Salope ? je vais t’apprendre à te contrôler, tu ne banderas que quand je te l’ordonnerai.

Il prit mes testicules dans une main et serra, le bâillon étouffait mes hurlements de douleurs, de l’autre main il me gifla de nouveau. Je pleurais, je sentais de grosses larmes couler de mes yeux.

  • Vas-y, chiale gonzesse ce n’est que le début, tu vas encore en prendre d’autres. J’aime faire souffrir les grosses putes comme toi, tu verras tout à l’heure quand je déchirerai ton trou du cul.

Anna poussa un cri de jouissance et dit :

  • Ça y est, je suis toute mouillée, tu peux te servir.

Il retira le bâillon de ma bouche et alla auprès d’elle et recueillit sa cyprine dans une main, et m’enduit le visage et ma raie :

  • Bien, maintenant tu sens la vraie femelle.

Il me fit m’assoir sur le bord du lit, j’étais toujours menottée, il m’intima l’ordre de le sucer, il me saisit par les cheveux et me força à prendre son sexe dans la bouche :

  • Pompe moi bien connasse, fais-moi bien bander.

Je m’appliquais autant que je pouvais, il plaqua ma tête contre son pubis, m’obligeant à gober la totalité de sa queue, je suffoquais, elle allait jusqu’au fond de ma bouche.

J’entendis Anna lui dire :

  • Mon chéri évite de jouir dans sa gueule de pute, réserve toi pour son cul.

  • Tu as raison il est temps de s’occuper de son gros cul.

Il me fit relever, ôta mes menottes et me poussa brutalement sur le lit, il me remit les menottes en les fixant aux barreaux du lit et me f o r ç a à cambrer mes fesses. J’étais à quatre pattes, mon large fessier offert. Il me fit écarter les cuisses et se mit à m’administrer une fessée magistrale, à la main pour commencer puis je sentis les lanières d’un martinet s’abattre sur mon postérieur.

  • Une petite mise en bouche pour attendrir la viande et bien te faire comprendre qui commande ici.

Je poussais de petits cris, mais la douleur était supportable et j’aimais bien la fessée, j’avais eu par le passé quelques petites expériences dans ce domaine et ce n’était pas pour me déplaire ; c’est ce qui allait inévitablement suivre qui m’inquiétait plutôt.

Il voulut me mettre un bâillon sur la bouche, mais Anna lui dit qu’elle voulait entendre mes cris quand il me pénétrerait. Elle avait approché le fauteuil du lit et je constatais qu’elle se masturbait avec un gros gode violet. Derrière elle il y avait un grand miroir au mûr, je pus donc assister aux préparatifs de mon Maître, je vis qu’il avait un flacon de gel en main (au moins il ne me prendrait pas à sec, c’était déjà ça).

Il fit couler le gel le long de ma raie, puis il fit des mouvements circulaires autour de mon anus, c’était très agréable ;

Il fit remarquer :

  • Elle a l’air d’aimer ça la grosse pute, regarde comme elle tortille du fion.

  • On verra quand tu lui feras ta piqure de viande, si elle aime toujours.

Il me « travailla » pendant de longues minutes, remettant régulièrement du gel, il introduisit un doigt doucement dans mon petit trou, il entra sans résistance, puis un deuxième sans autre difficulté, pour le troisième doigt ce fut moins facile, je me crispais et poussais un petit cri.

  • C’est vraiment une pucelle, elle n’avait pas menti. Je sens que je vais me régaler.

  • Elle va passer directement de pucelle à pute, il faudra bien la former pour Paolo.

C’était la première fois que j’entendis parler de Paolo, donc je ne compris pas ce qu’elle voulait dire. J’étais totalement concentrée sur ce que Rolf me faisait. Je parvins à me détendre quelque peu et il put enfin introduire son troisième doigt, il me masturbait lentement tout en me caressant les fesses, il était finalement capable de douceur, mais je craignais que cela ne dure pas…. Je n’avais pas tort. Dans le miroir je voyais qu’il se masturbait. Petit à petit il écarta ses doigts, j’avais un peu mal mais mon anus cédait progressivement. Puis je vis qu’il était en train d’enfiler un préservatif, ça y est je vais passer à la casserole. Il mit également un loup sur son visage.

Il me fm'obligea à me cambrer plus, me donna une grande claque sur les fesses :

  • Laisse toi faire grosse pute tu as une visite, tu vas comprendre maintenant la différence entre un homme, un vrai et une lopette.

Je sentis son gland s’insérer dans ma rondelle, dans un premier temps je ne ressentis pas de douleur particulière puis comme une grande brulure quand le gland fut passé ; je criais et essayais de me débattre, il se retira et gifla :

  • Je t’ai dit de te laisser faire pétasse, plus tu te crisperas plus tu auras mal, d’une manière ou d’une autre tu vas y passer, alors tiens-toi tranquille et sois coopérative.

Il remit du gel et me pénétra de nouveau, j’étais tendue mais j’essayais de ne pas lui résister. La douleur fut de nouveau intense quand son gland fut en moi. Il s’immobilisa un long moment, le temps que mes sphincters se détendent. Sa sœur se moquait de moi :

  • Toutes pareilles ces pouffes, elles veulent se faire enculer mais dès qu’une vraie bite se présente elles veulent se débiner. Pas de bol pour toi, là tu es tombée sur un vrai queutard, tu n’y couperas pas. Tu voulais être une femme, il va falloir le mériter.

Il poussa doucement, s’enfonça progressivement dans mon fondement ; c’était encore très douloureux mais je commençais à m’y habituer, il fit de cours va et vient. Petit à petit sa queue entra entièrement dans mon cul, il me tenait fermement par la taille, je sentais ses gros testicules me frapper les fesses. J’étais vaincue, je subissais ses coups de boutoir sans tenter de résister désormais ; après tout Anna avait raison je cherchais à me faire baiser et je savais pertinemment que la première fois serait un moment difficile à passer. Je parvenais progressivement à me détendre et à gérer la douleur. Je haletais en même temps que je poussais des petits cris :

  • On dirait qu’elle commence à aimer ça la petite pute dit Anna.

  • Tu en doutais ? Ces chiennes ont besoin de se prendre un bon saucisson dans le trou de balle pour se sentir femelle, elles font les mijaurées mais ne demandent que ça.

Il ressortit de moi, je croyais qu’il en avait fini mais il me pénétra de nouveau, beaucoup plus brutalement que la première fois, je hurlai.

  • Tu me sens bien connasse ? il faut que tu souffres pour mériter ma bite.

Tandis qu’il allait et venait en moi en haletant, je recommençais à bander. J’avais toujours mal mais ça devenait plus supportable, je n’éprouvais pas à proprement parler du plaisir mais j’étais contente de me faire enfin ramoner le cul.

Au bout d’un moment, à l’accélération de sa respiration je compris qu’il était sur le point de jouir. Ce qu’il ne tarda pas à faire avec un gros grognement de satisfaction ; il resta en moi, s’allongea sur moi, pesant de tout son corps.

De longues minutes plus tard il se retira enfin et enleva le préservatif.

Il ôta enfin mes menottes se mit à quatre pattes sur le lit et il m’ordonna de lui lécher l’anus en signe de soumission, je m’empressais d’obéir de peur d’être une nouvelle fois frappée. C’était un peu humiliant mais en même temps cela m’excitait. J’acceptais d’être sa chose, je me soumettais totalement à sa volonté.

Il se releva, me saisit par les cheveux, m'obligeant à mettre à genoux. Puis il vida le contenu du préservatif sur mon visage. Il me f o r ç a à tourner la tête du côté ou était Anna. Elle avait un appareil photo et se mit à mitrailler. Voilà pourquoi il portait un loup, pour qu’on ne le reconnaisse pas. Elle me dit en rigolant :

  • J’ai pris des dizaines de photos pendant que tu te faisais baiser comme une truie. Ces photos seront ton contrat te liant à nous. Le contrat est très simple, tu fais tout ce qu’on t’ordonne ou ces photos seront diffusées.

Elle brandit ma carte d’identité ainsi qu’une de mes cartes de visite, cette garce en avait profité pour fouiller mon portefeuille. Elle poursuivit :

  • Je garde la carte d’identité en garantie, pour être sûre que tu viendras bien samedi soir, elle te sera rendue si tu donnes satisfaction à « ton mari », tu seras travestie, maquillée pour le plaisir de Rolf ; tu deviendras sa femme, enfin sa deuxième femme, je reste la première, toi tu seras sa femme « par derrière ».

Rolf enchaina :

  • Samedi tu seras soigneusement épilée, maquillée et tu feras un lavement avant de venir, je t’enculerai sans capote et je jouirai dans ton gros cul, je veux qu’il soit propre, de toute façon quand je t’aurai baisée tu nettoieras ma queue avec ta langue ; donc si tu ne veux pas lécher ta merde tu sais ce que tu as à faire.

Je hochais la tête, il ajouta :

  • On sera seuls ce soir-là, tu seras très câline, tu mettras ta tenue la plus sexy, mais pas provoquante ; samedi ce sera en quelque sorte notre mariage, pour notre nuit de noce tu prévois une nuisette la plus sexy possible. Il faudra assurer, toute la nuit ; je te préviens, je suis très chaud et tu vas t’en prendre plein les miches.

Je l’assurais que j’obéirais en tout. Il passa une main sur mon visage souillé de son sperme et me demanda de la lécher :

  • Tu vas te rhabiller sans essuyer ta gueule et tu rentres chez toi, dès que tu seras arrivée tu ouvres ta messagerie, compris ?

Je lui assurais que j’obéirai, nous remontâmes sur la terrasse, j’avais un peu de mal à marcher, mon anus me brulait. Je remis mes vêtements et pris congé de mes Maîtres en leur baisant la main.

  • A samedi petite pute, pour continuer ton dressage.

Je repris la route et rentrais chez moi, quand je fus arrivée j’ouvrais mon ordi, j’avais un message avec une dizaine de pièces jointes. Je me vis en train d’être baisée, sur chaque photo mon visage était bien reconnaissable, contrairement à celui de Rolf. Le message en lui-même était laconique :

  • « il y a beaucoup d’autres photos de toi la pute, tu nous obéis ou elles seront diffusées avec ton nom et ton adresse. Donc rendez-vous samedi à 18 heures précises avec le cul bien propre. Signé Maître Rolf et Maîtresse Anna »

J’allais dans la salle de bain et me regardai dans le miroir, le sperme séché qui souillait mon visage faisait une fine pellicule, mon anus me faisait toujours un peu mal, mais cette douleur n’était pas désagréable, elle me rappelait mon nouveau statut.

  • Voilà, ça y est je suis une enculée. Maintenant il va falloir assumer, ils me tiennent, jusqu’où vont-ils aller ? après tout je verrai bien, je cherchais une aventure avec un mec, j’ai même une femme en prime.

J’étais loin de m’imaginer ce que l’avenir me réservait dans les mois qui suivirent !

Voilà c’est la fin de la première partie, si vous êtes intéressés il y aura bientôt une suite…

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